Petit dessin que j’avais fait à l’époque de la sortie du jeu « The darkness 2″
La particularité du jeu c’est qu’on joue le gros méchant qui trucide les malfrats à coup de tentacule démoniaque. Je suis pas un gros fan du comics, mais j’y reviendrais plus bas ^^. Le truc rigolo que je retiens…
C’est que comme dans le 1, pour utiliser ses pouvoirs; il faut rester dans l’obscurité et donc détruire les sources de lumière à mesure qu’on avance.
Et non là on éteint pas la lumière juste pour faire l’amuuuur ^^
Ce qui me renvoi à quelques mois plus tôt lorsque je jouais à Minecraft et où au contraire, j’avais pris l’habitude de poser des petites torches pour empêcher les monstres d’apparaitre dans le noir.
Sur cette capture d’écran, on voit quel grand malade j’ai été à courir partout pour poser des petites lumières ^^
Ouais donc quand on joue au jeux vidéos, on est quelqu’un de parfaitement logique qui ne fait pas tout et son contraire… Farpaitement madame :p
La moralité s’il en faut une ce serait de dire qu’au moins en œuvrant pour les forces du mal (the darkness 2), on est plus écolo… On éteint la lumière! Soyez malfaisant, c’est pour la bonne cause :p
Bon petit mot rapide sur le jeu maintenant et plus largement sur l’univers du comics. « The darkness 2″ est défouloir fluide, violent et rigolo (mention spéciale au cast de voix imitant les mafiosi ritals à 2 neurones :p). La mise en scène et le récit de l’amour perdu qui hante le héros tranche pas mal avec certains des cotés que j’aimais moyennement dans le comics très 90′s où il y’a trop facilement de la bimbo pour affoler le lectorat ado ^^et où le personnage a l’air de ne pas tenir à grand chose hormis les voitures de sports et le cul.
J’ai plus ressenti le mix entre les histoires de guerre de gangs et les trucs d’horreur dans le jeu que dans le comics qui m’est plus apparu comme un truc de mec costumé à super pouvoir. Comme quoi un même matériau peut servir de base pour des résultat bien différents.
Je fini ce billet avec la bande annonce en Vo juste parce que le doublage d’origine fait toute la différence
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